Tunis, 12 septembre 2025
Dans le cadre du processus de développement du projet « Amélioration de la résilience des écosystèmes alfatiers et des communautés locales face aux effets du changement climatique dans le Centre-Ouest de la Tunisie », pour une soumission au Fonds Vert pour le Climat (GCF), une réunion de travail s’est tenue le 12 septembre 2025 au siège de la Direction Générale des Forêts (DGF) du Ministère de l’Agriculture, des Ressources Hydrauliques et de la Pêche de Tunisie.
Présidée par le Directeur Général des Forêts, cette rencontre a réuni les partenaires clés du projet, dont les représentants de la DGF, de la Régie d’Exploitation Forestière (REF), de l’Institut National de Recherche en Génie Rural, Eaux et Forêts (INRGREF), des Arrondissements Forestiers relevant des CRDA de Kasserine, de Sidi Bouzid et de Kairouan, de WWF Afrique du Nord, de l’ONG APEL, ainsi qu’une délégation de l’Observatoire du Sahara et du Sahel (OSS), en tant qu’Entité de Mise en œuvre du projet.
L'objectif principal de cette rencontre était de présenter la première version de la note conceptuelle du projet. Cet échange a permis aux parties prenantes d'examiner le document, de formuler des recommandations constructives et d'enrichir la proposition. Les discussions ont visé à assurer que le projet répond aux attentes de tous les acteurs clés et qu'il est en adéquation avec les défis dans les zones d’intervention du projet.
La réunion a également permis à l’OSS de présenter les prochaines étapes opérationnelles post-approbation de la note conceptuelle, incluant une feuille de route détaillée pour le développement du document complet du projet et ses exigences.
Cette rencontre a marqué le point de départ d'une phase de consolidation exigeante qui se poursuivra dans les mois à venir. Par cette initiative, les partenaires ont collectivement réaffirmé leur engagement indéfectible à poursuivre activement le processus de développement du projet. Cet effort concerté vise à renforcer la résilience des écosystèmes steppiques à alfa et à soutenir les communautés locales vulnérables, dont les moyens de subsistance dépendent largement des services écosystémiques vitaux qu'ils procurent, face aux impacts croissants du changement climatique.