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Ce résumé à l’intention des décideurs souligne l'urgence de lutter contre la dégradation des terres en Afrique, un problème qui affecte 65% des terres productives et qui menace les services écosystémiques, la sécurité alimentaire, l'économie et la stabilité sociale. Il appelle à des actions coordonnées, en intégrant la gestion durable des terres, y compris la restauration, pour éviter, réduire et inverser cette tendance.

L’eau est essentielle pour la vie sur Terre, les eaux souterraines jouant un rôle crucial dans l’approvisionnement en eau douce. La coopération entre les nations est nécessaire pour gérer les aquifères transfrontaliers, notamment en Afrique où la surexploitation et la contamination menacent ces ressources.

Des projets de ^partenariat ont été menés, mais davantage d’efforts sont nécessaires pour établir des cadres de gouvernance solides et assurer un accès équitable à l’eau tout en protégeant l’environnement pour les générations actuelles et futures. 

L’Afrique du Nord est dotée d’un climat naturellement à dominance aride caractérisé par la rareté des ressources en eau renouvelables compromettant le développement durable de la sous-région. La sous-région subit également une tendance forte à l’assèchement et à la réduction des ressources en eau renouvelables disponibles. Parallèlement, la population totale de la zone et le taux d’urbanisation s’accroissent rapidement conduisant à une forte demande des besoins en eau.

La dégradation des terres s’accélère en Afrique, compromettant le développement économique et social des pays et la sécurité alimentaire d'une population croissante. Elle est provoquée par des causes multiples parmi lesquelles le changement climatique, avec son lot de phénomènes extrêmes tels que les sécheresses et les inondations. De plus, elle est aggravée par des facteurs anthropiques, à l’instar des pratiques agricoles, des pressions urbaines, de la pollution, de la déforestation et de la surexploitation des ressources naturelles.

Au cours de l’année 2023, l’Observatoire du Sahara et du Sahel a pris l’initiative d’élaborer une série d’articles thématiques liés aux journées mondiales d’intérêt pour l’Organisation, lesquels ont été rédigés par ses experts et diffusés sur son site web et ses réseaux sociaux. Dans cette perspective, le présent recueil a été conçu afin de valoriser ces contributions et de dresser un bilan annuel couvrant un large éventail de sujets environnementaux. 

L’Observation de la Terre au service de la sécurité alimentaire en Afrique - Note d’orientation

L’agriculture revêt un rôle crucial, celui de contribuer à la sécurité alimentaire et à l’économie en Afrique. Dans un contexte marqué par les changements et les variabilités climatiques, des informations agricoles précises, précoces et à variabilité spatiale sont indispensables à la prise de  décision.

Ce document met en lumière le rôle crucial de la télédétection et des données satellitaires dans le suivi et la gestion des ressources naturelles, essentielles au développement durable de la région.

Face aux défis majeurs liés à la variabilité climatique, à la sécurité alimentaire et à la dégradation des terres, le projet GMES & Africa vise à fournir des solutions innovantes fondées sur l’Observation de la Terre. À travers des services opérationnels dédiés, tels que MISBAR et MISLAND, il propose des outils performants pour :

Cette annexe technique, préparée par l’Observatoire du Sahara et du Sahel (OSS), vise à intégrer des mesures d’adaptation au changement climatique dans le Plan d’Aménagement et de Gestion (PAG) du Parc National de la Pendjari. Située dans le complexe transfrontalier W-Arly-Pendjari (WAP), cette aire protégée d’une grande richesse écologique subit de fortes pressions climatiques et anthropiques, menaçant la biodiversité et les moyens de subsistance des communautés locales.

Cette annexe technique, élaborée par l’Observatoire du Sahara et du Sahel (OSS), vise à intégrer des mesures d’adaptation au changement climatique dans le Plan d’Aménagement et de Gestion (PAG) de la Réserve de Biosphère Transfrontalière W au Niger. Située au cœur du complexe W-Arly-Pendjari (WAP), cette réserve constitue un écosystème clé pour la conservation de la biodiversité et la résilience des communautés locales.

Cette annexe technique, élaborée par l’Observatoire du Sahara et du Sahel (OSS), vise à intégrer des mesures d’adaptation au changement climatique dans la gestion de la réserve de biosphère transfrontalière W au Burkina Faso. Cette aire protégée, qui fait partie du complexe W-Arly-Pendjari (WAP), joue un rôle fondamental dans la conservation de la biodiversité régionale et dans la subsistance des communautés locales.

Ce document, élaboré par l’Observatoire du Sahara et du Sahel (OSS), vise à intégrer les mesures d’adaptation au changement climatique dans le Plan d’Aménagement et de Gestion (PAG) de la Réserve de Biosphère Transfrontalière W au Bénin. Cette réserve, qui fait partie du complexe transfrontalier W-Arly-Pendjari (WAP), abrite une biodiversité unique mais reste particulièrement vulnérable aux effets du changement climatique.

Cette annexe technique, élaborée par l’Observatoire du Sahara et du Sahel (OSS), vise à intégrer les mesures d’adaptation au changement climatique dans le Plan d’Aménagement et de Gestion (PAG) du Parc National d’Arly, une aire protégée clé du complexe transfrontalier W-Arly-Pendjari (WAP), partagé entre le Burkina Faso, le Bénin et le Niger.