Clôturé
5 ans (2007 - 2013)
- Gestion des eaux souterraines et superficielles
- Modélisation des systèmes aquifères
- Vulnérabilité des ressources en eau au changement climatique
- Mécanisme de concertation
6.380.000 €
Les structures gouvernementales en charge de la gestion des ressources en eau
Les populations locales
La communauté scientifique
Cartographie, Evaluation et Gestion des ressources en eau transfrontalières de la sous-région de l’IGAD
La sous-région de l’IGAD couvre une superficie d'environ 5,2 millions de km2. La sous-région de l'IGAD est aride et semi-aride (environ 80%), et subhumide. Elle est caractérisée par des sécheresses périodiques causant parfois des pertes en vies humaines et animales. La population estimée à 206 millions en 2010 devrait atteindre près 460 millions d’habitants en 2050. Les principales activités socio-économiques sont l'agriculture, l'élevage et l'agro-pastoralisme (30-40% de la population pastorale d’Afrique sub-saharienne).
Une première initiative (2007-2012) a permis d’identifier six bassins versants et six aquifères transfrontaliers. Des outils de gestion ont été élaborés (base de données régionale, SIG, cartes thématiques, modèle…). Les résultats obtenus ont contribué à générer une base de connaissances et de mieux comprendre les ressources en eau transfrontalières, les aspects socio-économiques, environnementales et institutionnelles de la sous-région liée au développement des ressources en eau.
Des enjeux de gestion de ces ressources, de surface et souterraine liés à l’augmentation de la demande en eau, ont été mis en exergue.
L'objectif général du projet a été d'aboutir à une gestion intégrée des ressources en eau de la sous-région de l'IGAD avec un accent particulier sur les ressources en eau transfrontalières partagées par deux ou plusieurs pays.
L'objectif spécifique du projet est d'évaluer le potentiel des ressources en eau transfrontalières pour le développement socio-économique (systèmes de surface et des eaux souterraines) de la sous-région de l'IGAD et de permettre aux États membres d’engager le processus de gestion des ressources en eau intégrée transfrontalière.
- Facilité Africaine de l’Eau – FAE/BAfD
- Une plus grande disponibilité de l’eau d’un point de vue qualitatif et quantitatif pour réduire la pauvreté
- Une meilleure efficacité et équité économique dans l’accès et la répartition de l’eau pour les divers usages
- Le renforcement de la coopération entre les pays riverains
- La promotion des outils et de méthodes vers une meilleure gestion intégrée de la ressource