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La communauté internationale s'intéresse de plus en plus à la relation entre les mouvements migratoires globaux et les perturbations environnementales, notamment la dégradation des écosystèmes et les effets du changement climatique. En effet, cette relation est avérée et les articulations entre ces deux phénomènes constituent un enjeu politique de taille à l’échelle planétaire. Avec une population mondiale en expansion et des conditions environnementales en détérioration, les défis liés aux phénomènes migratoires risquent de s’accentuer dans les prochaines années.

La présente note de plaidoyer, élaborée par l’Observatoire du Sahara et du Sahel (OSS), en collaboration avec l’Agence Française de Développement (AFD), dans le cadre de leurs actions communes de renforcement des capacités et des connaissances, tend à soutenir les décideurs dans leur compréhension du concept de l’adaptation et son intérêt dans la lutte contre les effets du changement climatique. Plus précisément, cette note se focalise sur la manière dont les mesures d’adaptation pourraient agir sur la restauration des écosystèmes dans les régions du Maghreb et du Sahel.

L’Observatoire du Sahara et du Sahel (OSS), avec le soutien du Fonds d’Adaptation, a élaboré ce plan pour renforcer la résilience des écosystèmes et des communautés du complexe WAP face au changement climatique. Ce complexe transfrontalier, partagé entre le Bénin, le Burkina Faso et le Niger, abrite une biodiversité unique, essentielle au développement local et régional.

L’Observatoire du Sahara et du Sahel (OSS) propose un mécanisme d’accès aux fonds renouvelables visant à diversifier les activités génératrices de revenus (AGR) des communautés riveraines du complexe WAP, couvrant le Bénin, le Burkina Faso et le Niger.

L’Observatoire du Sahara et du Sahel (OSS) propose ce guide méthodologique pour intégrer l’adaptation au changement climatique dans la gestion du complexe WAP, une aire transfrontalière partagée entre le Bénin, le Burkina Faso et le Niger. Ce complexe abrite une biodiversité exceptionnelle essentielle pour le développement socio-économique local et régional.

Cet ouvrage fait suite à deux précédentes éditions de monographies sur les ressources en eau éditées par l’Observatoire du Sahara et du Sahel en 1995 et en 2001.

Il présente une synthèse de données et d'informations utiles destinées aux décideurs et aux gestionnaires, mais aussi à tous les publics intéressés par les questions de l'eau.

Il propose également des pistes de réflexion et d’orientation aux différents acteurs concernés, afin d’améliorer la gestion et la valorisation des ressources en eau, dans la zone d’intervention de l’Observatoire du Sahara et du Sahel.

La gestion des écosystèmes et la protection de la biodiversité se trouvent désormais au centre des préoccupations politiques, eu égard aux engagements relatifs à la Convention sur la Diversité Biologique (CDB). De ce fait, la communauté internationale a proclamé 2021 - 2030 « Décennie pour la restauration des écosystèmes ».

Cet Atlas des cartes d’occupation du sol de l’Algérie, de l’Egypte, de la Jordanie, du Maroc et de la Tunisie est destiné aux décideurs, aux partenaires de développement et au grand public.

A travers une cinquantaine de cartes et une synthèse multithématique, l’atlas ambitionne à mettre en évidence les liens entre les services écosystémiques et les moyens de subsistance des populations des écosystèmes arides et désertiques, tout en montrant leurs potentialités. 

Les écosystèmes, par leur diversité et leur richesse, offrent des services qui constituent un élément essentiel dans le maintien de la vie. Leur gestion se trouve désormais au centre des préoccupations politiques. Les intérêts économiques, sociaux et environnementaux des écosystèmes sont devenus manifestes dans la conscience collective.

La politique du secteur de l’eau adoptée par l’Algérie depuis une vingtaine d’années à travers un investissement colossal en infrastructure hydraulique, nous a permis de nous doter d’une bonne maîtrise des ressources en eau, avec une satisfaction des besoins en eau potable et en irrigation satisfaisante. 
Cependant nous devons faire encore avec un certain nombre de contraintes et défis en raison : 

L’étude d’inventaire des bonnes pratiques dans le secteur de l’eau au Maroc, lancée par le projet CREM, « Coopération Régionale pour une Gestion Durable des Ressources en Eau au Maghreb » s’inscrit dans ce cadre et vise à contribuer aux efforts de capitalisation d’expériences (avec leurs succès et leurs échecs).

Le cadre général du projet CREM s’intègre dans la gestion durable des ressources en eau au Maghreb. L’Observatoire du Sahara et du Sahel (OSS) a soumis une demande de financement auprès du Gouvernement de la République Fédérale d’Allemagne qui, à travers le Ministère Fédéral Allemand de la Coopération Économique et du Développement (BMZ), a chargé la GIZ et Le BGR de l’exécution de la mission de l’appui technique pour ce nouveau projet CREM (Coordination Régionale pour la Gestion Durable des Ressources en Eau au Maghreb).